I need Your Help ! [Pv: Adam]

« Biiip Biiip Biiiip »

Le reveil qui sonne. Quoi de plus désagréable ? Pas grand chose à mon avis ! Oui, le reveil est un bruit que je deteste, surtout quand il sonne pour m'annonçait qu'il est temps d'allez au boulot ! Encore une journée, une longue journée. Je me levais quand même; à contre coeur certes, enfin, une bonne nouvelle, on était vendrdi soir, et Amber passerais la nuit chez sa grand mère ! Des fois, on adore vraiment ses parents croyez moi ! J'adorais aussi ma fille, mais quand elle était chez sa grand mère, ça me laissait quartier libre ! Je pouvais faire tout ce que je voulais. Mais bon pour l'instant, au boulot !

Après m'être douchée, habillée, coiffée, maquillée, je deposa Amber à l'école, puis me rendis au bar. Là, commença ma journée, service à faire, bavardage avec les gens, interrogatoire sur les derniers évènements, encore des gens trop curieux qui avaient été conduit à Clayton à cause des mystères de la ville. Ce soir, je terminais à 19 heures, j'attendais que les heures passent, car même si j'aimais plus ou moins mon boulot, j'avais toujours hâte de rentrer chez moi, normal non ?

Quand enfin arriva l'heure à laquelle mon service prenait fin, je me depêchais de rentrer chez moi. Amber était déjà chez mes parents, je n'avais donc rien à gerer ! Je ne savais pas à quelle heure Adam terminé ce soir, du coup, il fallait que je pense à l'appeller, du moins j'aurais du y penser, mais avec ma petite tête, vous vous en doutez, j'oubliais.

Une fois dans ma petite maison, j'entrepris de faire la cuisine, mission quasi-impossible, oui je n'étais pas une bonne cuisinière, Amber me le repprochais souvent, en général, je faisais des plats surgelés et la petite en avait marre, c'est d'ailleurs pour ça qu'elle adorait allez chez sa grand mère, là au moins elle mangeait correctement ! Quoi qu'il en soit, ce soir je me lança en cuisine, enfin j'essayez de me faire cuire un steak, oui ce n'est pas de la grande cuisine, mais c'est déjà trop dur pour moi.

Il était 20 heures passée quand je me mis en cuisine, j'étais motivée, cette fois j'allais réussir, c'était mon objectif ! Malheureusement, il tomba vite à l'eau, un coup de téléphone vint tout gacher. Le téléphone sonne, vous devinez, je vais répondre. C'était mon medecin en plus, alors avec tout mes problèmes de santé, dont lui et moi sommes les seuls au courant, la discussion dura plusieurs minutes, plusieurs minutes durant lesquelles j'avais laissé le fameux steak sur le feu. Il me disait qu'il fallait que je vienne le voir car cela faisais longtemps que je n'avais pas pris de rendez vous, je finis par lui dire que je devais raccrocher, au moment ou une odeur de brûlé arrivais jusqu'au salon.

Je me précipitais dans la cuisine où, le feu commeçais à se rependre, j'avais encore du laisser un torchon trop près du gaz ou je ne sais quoi et ma cuisine prenais feu, j'étais en pleine panique ! Moi qui suis tellement peu douée, que voulez vous que je fasse dans ce genre de situation ?

« Ho non mon dieu !!!!! »

J'étais vraiment paniquée, la fumée tout ça, vous n'imaginez même pas comme c'est flippant, j'ouvrais la fenetre, histoire que la fumée s'échappe dehors, et que tout le voisinage remarque que quelque chose avait brûlé dans la maison des Mckenzie ! Le temps que j'ouvre la fenêtre le feu s'était répendu, l'air était toujours irrespirable, alors avec mes problèmes pulmonaire ... Une catastrophe.

J'eu quand même une idée, balancé de l'eau sur mon petit incendit qui n'avait de cesse de s'agrandir, alors je pris un seau le rempli d'eau, et balança la flotte sur la gaz, en quelques seaux et quelques brûlure, le feu était eteind, ma cuisinière et mon plan de travail, complétemet crâmer, ma maison pleine de fumée. J'ouvrais plusieures fenête afin de faire partiir toute la fumée qui m'intoxiquait et me dit que j'avais vraiment besoin de quelqu'un avec moi, car seule, j'étais certaine de me tuer par un bête accident !

Ahhhhhhhh

Mais qu'est-ce ? Le simple bruit de mon réveil, de mon étirement plutôt j'ajouterai même de mon bâillement. Dur dur de se lever aux aurores. Suis-je matinal ? Euhh... c'est une question sur laquelle je pourrais débattre longtemps... Premièrement je serais tenté de dire non puisque se lever tôt c'est chiant. Mais viendrait ensuite le oui car une fois que je sais ce que je vais faire, autrement dit aller au boulot et enquêter, je deviens de bonne humeur à l'idée de résoudre des mystères.

La tête dans le... dans les nuages, je me levai. Première chose que je fis, me diriger dans ma cuisine où je prenais chaque matin un costaud petit déjeuner afin de tenir toute la journée. Au final ce fut des œufs sur le plat avec du bacon ainsi qu'un grand verre de jus d'orange. Je pris même avant de sortir de la cuisine un Bagel nature. Je ne fis pas attention au désordre et me dirigeai dans ma salle de bain. J'y pris une bonne douche légèrement froide pour me réveiller, je m'habillai d'un pantalon noir en jean, d'un t-shirt blanc et d'une veste de cuir noir. Ainsi j'étais prêt, ou presque. Je retournai dans ma cuisine pour débarrasser ce que j'avais sorti précédemment puis pris mes clefs de moto. Eh oui, j'allais au boulot non pas en voiture alors que j'en avais une mais en moto. Je ne vois pas l'intérêt de vous en préciser la marque, cependant elle est noire.

Une fois au QG, je saluai tous et toutes mes collègues puis réfléchis à ce qui m'attendait aujourd'hui. Une enquête assez simple... un vol. Si je dis simple c'est parce qu'il arrive que ce soit des meurtres et dans ce cas on ne sait pas sur quel genre de psychopathe on peut tomber. Bref j'enquêtais toute la matinée sur cette affaire quand vint l'heure de la pause, au passage très courte où j'eus peu le temps de déjeuner. Vous comprenez alors pourquoi je prends un petit déjeuner costaud. L'après midi, ce fut reparti, je ne cessai de bosser. Ce soir je finissais aux alentours de 20h15.

Quand enfin ce fut l'heure, je sortis et remontai sur ma moto, pas le temps ce soir de passer chez moi me changer, je devais aller voir Stella. En fait, Stella était ma copine depuis désormais un an. Nous ne vivions pas encore ensemble pour la simple et bonne raison qu'un an si l'on y réfléchit bien c'est peu pour se connaître parfaitement. En revanche, il arrivait que je passe des soirées chez elle et elle chez moi. En fait c'était même presque tout le temps. Et souvent, c'est moi qui allait la voir pour qu'elle n'ait pas ensuite à rentrer de nuit et être trop fatiguée car je ne connaissais que trop bien sa maladresse. Je roulai assez vite, quoique pas plus que d'habitude lorsque j'arrivai enfin non loin de la maison de ma copine.

C'est alors que j'aperçus de loin de la fumée se dégageant de la maison, je compris très d'où cela venait et aussi vite que je le compris, j'enfonçai déjà de ma main l'accélérateur. J'arrivai comme un fou devant la maison, la moto dérapant pour être capable de s'arrêter. Je me précipitai dans la maison sans même prendre la peine de frapper. Je savais que Stella avait quelques problèmes ou du moins était de constitution fragile et cette fumée n'était vraiment pas bonne à prendre. Lorsqu'enfin dans la cuisine je la trouvai, elle était devant sa cuisinière à contempler les dégâts. Je m'approchai vivement d'elle en la prenant par la main et en l'emmenant dehors. Une fois cela fait, je posai mes mains sur son visage et la regardai comme si c'était une petite enfant et moi un de ses parents affolé aux petits soins.

Tu vas bien ma chérie ?!

Combien allais-je encore payer ma maladresse ? Mon salire n'était mirobolant, et je ne savais pas si les assurances marchaient aussi pour les accidents de ce genre, efin au moin, les dégats étaient mineurs, ils auraient pu être pires, en effet, il n'y avait que la cuisine qui avait pris feu, ça aurait pu être toute la maison, et là, ça aurait était la misère ! Heureseument qu'Amber n'était pas là ce soir, ça lui avait éviter d'assister a une nouvelle de mes gaffes.

Quoi qu'il en soit j'étais en train de contempler l'étendu des dégats, bouche bée, à la porte de ma cuisine, quand j'entendis la porte d'entrée s'ouvrir, je me retournais ver cette dernière et vit Adam entrer dans la maison, il me pris par la main et m'entraina dehor, sans rien dire je le suivit, j'étais sans doute trop desespérée. J'étais vraiment un danger public, et le peu de personne au courant de ma tentative de suicide d'il y a dix ans, doivent souvent se dire que si j'étais morte ce jour là, la terre auraient eu une espérence de vie plus longue ! Oui, j'étais sûre que j'étais capable de détruire le monde sans le faire exprès, pauvre de moi quand même, c'est pas évidément d'être un danger pour la société.

J'étais toujours incapable de dire quoi que se soit quand Adam pris mon visage entre ses mains et me demanda si j'allais bien, c'était une bonne question ça, est-ce que j'allais bien ? J=Ma repiration était encore hatelente, j'avais quelques brûlures aux mains, mais j'étais en vie, je tenais debout, je n'étais pas en train d'ettoufer, donc oui, je suppose que j'allais bien. Je fixais Adam dans les yeux avant d'aqcuiesser en guise de réponse.

J'étais encore un peu perturbée, vous savez, il faut beaucoup de temps pour ce remettre d'un événement comme celui ci. Oui je pense que ça aurait pu être pire, mais moi qui suis tellement nulle, j'ai cru que cet incendit me tuerais ! Heureseument j'avais réussi à agir mais quand même j'avais eu peur.

« Je suis vraiment nulle, j'arrive même pas à faire cuire un steak sans manquer de brûler ma maison ... Quitte moi sur le champs ou je causerais ta mort ... »

J'avais réussis à plaisanter, car oui c'était de l'humour, je ne voulais absolument pas qu'il me quitte ! Plutôt mourir. C'était juste une petite blagounette, que j'accompagnais d'un petit sourire, au moins comme ça il serait sûr que j'allais bien, que je m'étais remise de ce petit accident, oui il m'avait fallu un peu de temps pour si peu, c'est pas de ma faute je suis comme ça, je drâmitise toujours mes erreures.

En cet instant précis j'étais inquiet en regardant le visage de bien aimée qui ne réagissait pas. Je continuai de la fixer, me demandant quand elle allait répondre et si elle allait bien. Qu'est-ce qui lui était encore passé par la tête ? Je savais bien qu'elle était maladroite mais c'en était inquiétant car elle pourrait gravement se blesser si elle continuait ainsi. Je savais aussi qu'elle avait honte d'elle, elle le disait assez souvent mais moi j'avais confiance. Je ne doutais pas qu'un jour sa maladresse se calme puis disparaisse.

Elle me répondit enfin qu'elle n'était même pas capable de faire cuire un steak, à ce moment je lui en voulu. Un moment d'inattention arrivait à tout le monde et je refusai qu'elle se blâme pour cela. Ensuite elle me dit en riant de la quitter afin de ne pas mourir à mon tour par accident. Je lui fis une grimace et lui donnai une petite tape sur la tête. En effet, cette jeune femme si belle et si fragile qu'était ma copine était idiote parfois. Parfois j'avais l'impression d'être son papa qui veille sur elle tant je souhaite être protecteur envers ce petit bout de femme. Je lui souris à mon tour avant de lui répondre gentiment.

« Tu sais que je ne pourrais pas... »

Premièrement j'avais hésité à blaguer en lui disant quelque chose tu genre tu sais bien que sans moi tu t'en sortirai pas en riant pour se croire indispensable, sauf que je pense que ce n'était pas le moment c'est pourquoi je préférai lui dire ce que je pensai réellement. Notre amour ne datait que d'un an mais il était très fort et autant que je le savais, personne ne pourrait nous empêcher de nous aimer. Elle était tout ce dont j'avais besoin, une magnifique femme sans trop de caractère, fragile pour que je prenne soin d'elle, douce pour prendre soin de moi, maladroite pour que je veille sur elle et la protège... Tout était parfait, bien que parfois je craignais qu'elle ne se fasse du mal. En déviant légèrement mon regard, je vis enfin ses mains qui étaient brûlées et toute de suite je voulus l'emmener à l'hôpital.

« Ma chérie, il faut que l'on aille à l'hôpital pour faire soigner tes mains »

Je m'étais enfin remise de mes émotions, j'avais même réussis à plaisanter et comme si j'avais pas assez du mal à comprendre la situation, je me pris une tape sur la tête qui ne venait de nulle part, enfin si, elle venait de quelque part, d'Adam, pour être plus précise, mais sur le coup je mis encore quelques secondes avant de comprendre ce qui ù'arrivais, pas facile d'avoir un cerveau lent, haha, le petit jeu de mot débile, enfin bref, je me frotta la tête là où il m'avais taper, histoire de faire genre j'avais mal; même si ce n'était pas du tout le cas.

« Aiiieuh ... »

Petite plainte inutile vu que je n'avais pas mal, c'était sans doute mon côté de petite fille qui remontait à la surface. Quoi qu'il en soit, Adam me répondit qu'il ne pourrait jamais me quitter, cette courte réponse me décrocha un large sourire, c'est le genre de phrase qui fait plaisir à entendre. Moi je n'imaginais pas ma vie sans lui, alors le fait qu'il me dise ça, me faisais automatiquement plaisir. Moi qui auparavant avait eu temps de mal en amour, desormais j'étais plus qu'heureuse, au fond, peut être que je ne méritais pas un homme aussi bien qu'Adam, mais tan qu'il était mien, je n'allais pas me plaindre !

Le seul défaut que je pouvais trouver à mon prince charmant, c'était qu'il s'inquiétait trop pour moi, c'était légitimé, je l'admet. Après tout, j'étais toujours en train de me faire mal quelque part, mais s'il continuait comme ça, il allait être inquiet 24/24 tellement j'étais maladroite, et moi j'avais tendance à minimiser les dégats physiques de ma maladresse. Tellement que j'avais déjà était capable de rester plusieurs jours avec le poignet cassé avant que je me decide à allez à l'hôpitla, et encore, c'était Amber qui m'avait forcé à y allez. Conclusion de l'histoire, pour moi ce n'était que des brûlures superficielles, pas besoin de s'inquiêter. C'est vrai quoi, ce n'était pas comme si j'avais mis les mains dans le feu. C'était vraiment rien, juste un peu rouge et je risquais peut-être d'avoir quelques cloques, mais rien n'était moins sûr.

« Mais non, c'est rien, t'inquiétes pas, c'est superficiel, ça ne craind rien. »

J'affirmais cela comme si j'avais fait des études de medecine, ce qui était loin d'être le cas ! Je n'avais même pas terminer le lycée, alors c'est pour dire ! Non, je n'avais absolument aucune compétence en medecine, même Adam en tant que flic, devait sans doute en avoir plus que moi, mais tant qu'il s'agissait de moi, ce n'était pas grave à mes yeux.

Lorsque je lui mis une petite tape sur la tête elle poussa une plainte non justifiée qui me fit sourire. Sous ses airs de petite fille elle était tellement craquante, miam je l'aurais mangé si j'avais pu. Puis je lui dis que je ne la quitterai pas, phrase simple qui lui arracha un sourire sincère. J'aimai énormément ce petit bout de femme. Elle m'était essentielle.
Eh dire qu'autrefois je sortais avec des filles car elles me plaisaient mais surtout parce que je leur plaisait. Il n'y avait pas d'amour sincère entre mes anciennes petites amies et moi. Mais depuis un an maintenant que je connais Stella, je découvre l'amour, le vrai, celui que l'on découvre lorsque l'on est jeune et où l'on ressent une flamme en nous. Une étincelle et un bonheur intense, un besoin de protéger celle que l'on aime... Que dire de plus si ce n'est que je l'aime ?

Bref, pour en revenir à nos moutons, elle me dit que ses blessures étaient superficielles mais je me méfais d'elle car elle ne prenait jamais ses bobo au sérieux. Elle avait beau prendre soin de moi et avoir peur dès que je pourchassais un tueur ou quelqu'un de dangereux, elle ne prends jamais soin d'elle dans le sens où rien de ce qui lui arrive n'est grave. Je regardai ses mains plus attentivement mais elle avait raison, les blessures n'étaient pas vraiment graves en revanche j'insistai pour m'occuper d'elle. Et puis, quelle femme n'aime pas que l'on s'occupe d'elle ? =D

Bon... Alors viens on va les passer sous l'eau froide, ensuite je te badigeonne de Biafine & enfin je te les bande pour ne pas que tu fasses une autre ânerie.

Je lui fis un petit sourire moqueur . Je passai une main autour de sa taille pour retourner vers la maison étant donné que la plupart de la fumée était partie. Nous rentrâmes ensemble dans la maison afin que je m'occupe enfin d'elle.

Je préférais ne plus insister, de toute façon c’était peine perdue, quoi que je dise, j’aurais le droit à la biafine et aux bandages, alors autant ne pas résister. Il dirait que ça m’éviterais d’autres âneries, selon moi, il en fallait bien plus, même attachée sur une chaise, incapable de bouger, j’étais capable de faire une connerie, j’étais tellement maladroite et tellement maudite que j’étais capable de tout, la preuve juste pour un Steak j’avais presque brûler ma maison. Et ce n’était pas la pire chose qui m’étais arrivé croyez moi ! En 26 ans de vie, il m’étais arrivé tellement de chose … La preuve étant que j’étais tombée enceinte à 16 ans et que le père de ma fille était mort d’une overdose ! Si ça ce n’est pas avoir la poisse ….

Quoi qu’il en soit, je suivis Adam jusqu’à l’intérieur de ma maison, où la fumée s’était dissipée, une légère odeur de brûler envahissait toujours la petite maison, mais l’air était respirable ce qui n’était pas le cas quelques minutes plus tôt. Décidément, c’était ce genre de moment qui me faisait penser que j’étais un danger pour la nation américaine, tellement qu’un jour je finirais par voir les militaires débarquer pour m’éliminer et sauver le monde ! Oui j’exagère un peu, je vous l’accorde, mais quand même ! J’étais je pense quand même être un danger public ! Genre, la gars qui m’a donné mon permis de conduire, avouons, qu’il n’a pas mesurer les risques de son geste, après tout, depuis que j’avais ce fameux permis de conduire, j’avais déjà eu pas mal d’accidents, il m’était déjà arrivé de tomber en panne en plein milieu d’un carrefour ! Ce jour là j’ai faillis passer l’arme à gauche une seconde fois dans ma vie, enfin ce n’est pas l’important, ce qui compte c’est que vous voyez à quel point la malchance me collait au baskets.

Bref, une fois à l’intérieur de ma petite maison, je me dirigeais vers la salle de bain en compagnie d’Adam, vu qu’il tenait tant que ça et soigner mes petites brûlures, elles étaient pourtant si insignifiantes, enfin bon, je ne pouvais pas lui reprocher de vouloir prendre soin de moi, au contraire, ça me faisait plaisir, et puisque je n’étais, de toute évidence, pas apte à m’occuper de moi-même, il fallait que quelqu’un d’autre le fasse à ma place.

« Je ne sais pas ce que je ferais sans toi …. »

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» Adam Jefferson pour votre plus grand malheur... Oups Bonheur :D 100 %